Minibibliothèque de prêt gratuit

 

Court Jus met à la disposition de ses adhérents une mini bibliothèque de prêt gratuit. Ces livres ou DVD sont en rapport avec le questionnement de court jus sur l'agriculture, l'alimention, les circuits court... Pourle moment, il y a surtout des essais, nous comptons y mettre également des romans, BD, films de fiction etc..D'autres livres et DVD suivront; n'hésitez pas à nous indiquer des titres qui vous ont intéressés.

 

Ces  livres et films sont à emprunter à la boutique de légumes de Chantal Bonetti " En direct de mon jardin" à Embrun chaque mercredi et samedi matin.

 

Une association ami, R.E.S.P.E.C.T.S, à Gap vous donne aussi quelques conseils de lecture : ICI

 


La bio entre business et projet de société

Sous la direction de Philippe Baqué . Agone éditeur . 2012

 

« La grande distribution propose des produits bio importés de l’autre bout du monde, à l’empreinte écologique catastrophique, cultivés par des ouvriers sous-payés et revendus entre cinq et dix fois leurs prix d’achat. Pendant ce temps, des paysans vendent leurs produits bio, avec une réflexion sur un prix juste, sur des marchés de plein vent ou au sein d’Amap.

Plutôt qu’une démarche indissociablement écologique, sociale et politique, peut-on réduire la bio à une distribution d’aliments sans pesticides pour consommateurs inquiets de leur santé ? La bio peut-elle se mettre au service du “bien-être” d’une partie de la population sans ébranler les fondements de la société de consommation ? »

 

Ce livre collectif est l’aboutissement du travail de journalistes, sociologues, agronomes et paysans. Certains ont mené des enquêtes de terrain en Amérique, en Afrique, au Proche-Orient et en Europe ; d’autres se sont inspirés de leurs pratiques.

L’ensemble constitue une critique du « bio-business » mais montre surtout comment des paysans mettent en pratique les principes fondamentaux de l’agriculture bio et proposent des alternatives à un modèle de société destructeur.

 


La consommation critique

Sous la direction de Geoffrey Pleyers

 

Le consommateur est-il cet acteur tant attendu, capable d’introduire des considérations éthiques dans un monde dominé par la dérégulation des marchés ? Dans les AMAP, les Groupes d’achats solidaires, les restaurants associatifs ou des réseaux de simplicité volontaire, des consom’acteurs organisent des circuits de distribution alternatifs, sensibilisent la population aux impacts de l’alimentation et questionnent les valeurs de la société de consommation.

Ce recueil offre un tour d’horizon d’expériences qui y contribuent en France, en Belgique, en Italie, en Angleterre et au Canada. Les contributions mettent en évidence les innovations mais aussi la continuité historique dans laquelle s’inscrivent ces acteurs contemporains. Elles analysent les pratiques, les formes d’engagement et conceptions du changement social des consom’acteurs ainsi que la reformulation de la critique qu’ils incarnent.

 

Avec des contributions de Jean De Munck, Emeline De Bouver, Mathieu Colloghan, Samuel Hubaux, James Kirwan, Mélanie Louviaux, Josée Madéia Charlebois, Damian Maye, Fabrice Ripoll, Emanuele Toscano, Paola Rebughini, Etienne Verhaegen et Magali Zimmer.


Famine au sud / Malbouffe au nord

Comment le bio peut nous sauver

De Marc Dufumier

 

Marc Dufumier, ingénieur agronome, est professeur émérite en agriculture comparée et développement agricole à l'AgroParistech. Expert auprès de la FAO et de la Banque mondiale, il est régulièrement sollicité par les gouvernements étrangers confrontés à des crises alimentaires ou agricoles.

Un agronome de réputation internationale dénonce les folies de l'agriculture mondiale et montre qu'une alternative crédible est déjà à l'œuvre : l'agriculture biologique.

 

En 2050, les neuf milliards d'êtres humains qui peupleront la planète pourront se nourrir... grâce à l'agriculture biologique. Celui qui l'affirme n'est pas un doux rêveur.

C'est Marc Dufumier, un agronome de réputation mondiale qui a observé en France et dans le reste du monde le bon fonctionnement des systèmes agro-écologiques ; et les dysfonctionnements des systèmes « productivistes ».

 

Famines, malbouffe, dégâts environnementaux, désertification des campagnes : tel est le bilan, désastreux, de nos systèmes agricoles exagérément spécialisés, mécanisés, « chimisés ». Dans l'inconscient collectif, cette agriculture « moderne » reste pourtant la seule capable de nourrir la planète et de rémunérer correctement les paysans.

Mais ce livre prouve que cette croyance ne résiste pas à l'épreuve du terrain. L'agriculture « productiviste » est pour les paysans comme pour le consommateur un choix chaque jour plus risqué, tandis que la conversion à l'agro-écologie devient chaque jour plus raisonnable. Qualité des aliments, respect de l'environnement et - contrairement aux idées reçues - garantie voire amélioration des rendements : le bio n'est pas un caprice de bobo. C'est plus que jamais la voie d'avenir.

 

Si Marc Dufumier décide aujourd'hui de s'adresser au grand public c'est parce qu'il y a urgence : la mutation vers le bio prend du temps et les déséquilibres agricoles actuels vont aller en s'accentuant, avec des conséquences directes sur notre quotidien. Nous mangeons mal et abîmons nos campagnes parce que nos systèmes de production sont malsains. Nous subissons une forte pression migratoire aux frontières de l'Europe parce que le Sud n'arrive plus à fixer ses paysans dans les campagnes. Insécurité alimentaire, insécurité environnementale, insécurité géopolitique : il n'y a plus de temps à perdre pour remettre l'agriculture sur les bons rails.

 


Solutions locales pour un désordre global

De Coline Serreau - Actes Sud - Avril 2010

 

Le dérèglement écologique mondial est une conséquence directe de notre système de production et de consommation. Il en résulte une crise profonde qui menace gravement la sécurité alimentaire de l’humanité. Pourtant, des solutions existent. Et toutes se fondent sur l’élaboration d’un autre type de société. En une vingtaine d’entretiens, Coline Serreau nous présente des alternatives déjà mises en œuvre partout dans le monde. Acteurs du changement, des paysans, des agronomes, des économistes ou des philosophes témoignent de la vitalité d’une société nouvelle, encore latente et minoritaire, mais bientôt visible et majoritaire.

 

Théories, analyses et réponses pratiques se mêlent pour interpeler le lecteur et éveiller en lui le désir d’agir et le plaisir d’envisager une vie nouvelle. Il existe de multiples techniques (culture biologique, semis direct, compostage, bois raméal fragmenté, pesticides et engrais naturels…) pour rétablir un lien honnête entre le champ et l’assiette.

 

De ce lien rétabli pourrait naître une démocratie nouvelle instaurant l’économie locale, la redéfinition de nos valeurs et du concept de richesse ainsi que le rééquilibrage du pouvoir entre les sexes.

Le livre s’ouvre sur une préface de Coline Serreau, où elle présente son engagement intellectuel.

Le lecteur trouvera par ailleurs en fin d’ouvrage un lexique des termes clés de l’agriculture biologique et quelques principes pour entreprendre dès à présent des actions de proximité écoresponsables.

 


Agir à gauche

L'économie sociale et solidaire

De Jean-Louis Laville

 

Devant l'ampleur de la crise, le risque de régression autoritaire et perceptible.

Ce danger existe mais il peut être combattu comme en témoigne l'essor remarquable en France et ailleurs de l'économie sociale et solidaire qui remet l'économie à sa place, celle de moyens au service de finalités écologiques, sociales et culturelles.

 

Il s'agit aujourd'hui d'aller plus loin, de fonder un nouveau projet qui redonne espoir. La lutte pour l'égalité qui caractérise historiquement la gauche peut redevenir une source d'énergie collective, à condition de ne plus ignorer mais de soutenir les initiatives citoyennes par une nouvelle approche politique.

Une alliance entre société civile et pouvoirs publics est indispensable contre la démesure du nouveau capitalisme globalisé.

 

Cet ouvrage explique avec clarté ce qu'est l'économie sociale et solidaire.

Sans cerner les menaces qui la guettent, il examine à quelles conditions elle peut impulser une dynamique démocratique et propose des principes d'action. Avec la conviction que la question abordée est décisive pour notre avenir commun et qu'il est temps d'en débattre.

 


Vive l'agro-révolution française !

De Vincent Tardieu

 

"La révolution écologique est en marche dans nos campagnes !"

Alors que la Terre comptera 9 milliards de bouches à nourrir en 2050, nombreux sont ceux qui pensent qu’il n’y a pas d’alternative à l’agriculture chimique et industrielle. Et pourtant… Au terme d’un tour de France de dix-neuf mois à la rencontre de paysans, de chercheurs et de techniciens, Vincent Tardieu révèle que le monde agricole est en pleine mutation : la crise du modèle productiviste actuel engendre une puissante révolution vers une nouvelle agriculture où les processus naturels sont au cœur des méthodes de production. Cette agriculture écologique est riche d’une belle diversité d’itinéraires (bien au-delà de la seule agriculture biologique) et de réseaux humains que l’ouvrage invite à découvrir avec, à la clé, des raisons d’espérer : oui, on peut nourrir la planète tout en préservant l’environnement ! Oui, nos paysans peuvent vivre mieux et plus nombreux ! Mais cette révolution écologique n’ira pas sans bouleversements des marchés, des organisations agricoles et de notre façon de consommer.

 

Vincent Tardieu est un journaliste scientifique dont l'expertise en agronomie et en écologie est reconnue. Sa précédente enquête écologique, consacrée au déclin des abeilles (L’étrange silence des abeilles, Belin, 2009), a été saluée par la critique et les lecteurs. Il a également co-écrit, avec Christine Rollard, Arachna, les voyages d'une femme araignée (Belin, 2011).

 


La nouvelle alternative ?

De Philippe Frémeaux

 

L'économie sociale et solidaire fait aujourd'hui figure de nouvelle alternative au capitalisme.

De fait, son objectif premier n'est pas de dégager du profit, mais de produire des biens et services utiles à tous. Issue d'initiatives citoyennes, elle apporte la preuve que la recherche de l'enrichissement personnel n'est pas l'unique motif qui puisse donner envie d'entreprendre. Constitue-t-elle pour autant une force politique, un mouvement susceptible de transformer profondément notre économie et notre société ? Sa gouvernance, qui se veut démocratique, est-elle vraiment exemplaire ? A-t-elle vocation à s'étendre, à se généraliser ? Enfin, cette généralisation est-elle souhaitable ?

 

Autant de questions auxquelles l'auteur répond dans ce livre, nourri de nombreux exemples. Pour lui, il est temps de regarder « l'ESS » telle qu'elle est, et non dans sa version idéalisée : c'est à cette condition qu'on pourra apprécier dans quelle mesure et à quelles conditions elle peut contribuer à rendre l'économie plus démocratique, plus juste et plus soutenable.

 


Un million de révolutions tranquilles

De Bénédicte Manier

 

Ils sortent de la faim et de la pauvreté des centaine de milliers de personnes. Ils sauvent des entreprises. Ils construisent des habitats coopératifs, écologiques et solidaires. Ils ouvrent des cliniques gratuites, des microbanques, des épiceries sans but lucratif ou des ateliers de réparation citoyens. Ils reverdissent le désert et régénèrent les écosystèmes. Ils financent des emplois ou des fermes bio. Et partout dans le monde, ils échangent sans argent des biens, des services et des savoirs, redynamisent l'économie locale ou rendent leur village autonome grâce aux énergies renouvelables.

Il s'agit là d'un mouvement inédit, mené par une société civile lucide, ayant décidé de reprendre en main les enjeux qui la concernent et qui, des États-Unis à l'Inde, du Canada à la France, de l'Argentine au Japon, fait émerger des solutions innovantes à la plupart des maux de la planète. Peu à peu, elle dessine ainsi les contours d'une société plus participative, plus solidaire, plus humaine.

 


Vivre avec les animaux

De Jocelyne Porcher (2014)

 

Dans notre monde radicalement artificialisé, seuls les animaux, en nous rappelant ce qu'a été la nature, nous permettront peut-être de nous souvenir de notre propre humanité. Mais saurons-nous vivre avec eux ? Le voulons-nous encore ? Car l'abattage de masse des animaux, considérés comme simples éléments des « productions animales », leur inflige une terreur et une souffrance insoutenables, tout en désespérant les éleveurs.

Qu'est-ce que l'élevage ? Quelles différences entre « élevage » et « productions animales » ? Quelle est la place de la mort dans le travail avec les animaux ? Peut-on améliorer leur sort dans les systèmes industriels ? Faut-il « libérer les animaux » comme le proposent certains philosophes ? En répondant ici à ces questions, Jocelyne Porcher explique en quoi la capacité des hommes à coexister pacifiquement dépend de leur capacité à vivre en paix et dignement avec les animaux. Et pourquoi, dès lors, sauver l'élevage en évitant son assujettissement au système d'exploitation et de mise à mort industrielles pourrait être une des plus belles utopies du XXIe siècle.

 

 


Eleveurs et animaux, réinventer le lien

De Jocelyne PORCHER (PUF 2003)

 

En moins de 50 ans, l'élevage en France a été transformé en un ensemble d'activités de "productions animales" identiques dans leurs objectifs et dans l'essentiel de leurs moyens à d'autres productions industrielles. Cette évolution a conduit, grâce à l'appui des scientifiques, à réduire l'élevage à sa seule rationalité économique, et à convertir les éleveurs en producteurs de biens d'origine animale. Si la réussite quantitative de cette transformation est indéniable, son échec est par ailleurs patent. En occultant les rationalités relationnelles de l'élevage qui fondent et justifient notre lien aux animaux, les "productions animales" ont anéanti le sens même de cette relation et construit un rapport aux animaux d'élevage basé sur une exploitation sans merci et sur le déni du lien.

 

Contre la souffrance, les éleveurs témoignent de leur attachement à leurs animaux et de la place de l’affectivité et de la communication dans leur travail. Contre un monde désincarné et désanchanté, dans lequel "on produit des cochons comme on produit des chaussures", c’est-à-dire ici ou ailleurs, et contre une société dans laquelle ni les éleveurs ni leurs animaux n’auront bientôt plus aucune place, il nous appartient collectivement d’apprendre à travailler avec les animaux d’élevage autrement, de réinventer le lien."

 


50 idées reçues sur l'agriculture et l'alimentation

 Marc Dufumier (2014)

 

En tant que consommateurs, nous sommes pris chaque jour entre deux feux : d un côté les discours alarmistes des écolos, de l autre les discours marketing de l agriculture et de l alimentation industrielle. Résultat, nous entendons tout et son contraire sur ce qui se passe dans nos assiettes et nos campagnes, et on ne sait plus ce qui est vrai ou faux.

Pour la première fois, un livre qui nous dit, de façon claire et scientifiquement incontestable, ce qui est vrai ou faux dans tout ce que l on entend sur notre agriculture et notre alimentation.

 

 

 


Manifeste convivialiste

Déclaration d'interdépendance

(les convivialistes. Collectif) 2013

 

Un autre monde est non seulement possible, il est absolument nécessaire. Et urgent. Mais selon quels principes et quels contours l’organiser ? Ce ne sont pas tant les propositions et les solutions qui manquent, techniques, économiques, écologiques etc., que le pavillon commun sous lequel toutes les initiatives, toutes les inventivités qui se déploient à travers le monde, pourront trouver et penser leur unité relative, et que l’explicitation de la philosophie politique minimale commune qui les inspire . Une philosophie politique qui aura pour tâche de dire comment les hommes peuvent vivre ensemble en s’opposant sans se massacrer, et de faire reposer l’adhésion à la démocratie sur autre chose que la perspective d’une croissance indéfinie, désormais à la fois économiquement introuvable et écologiquement insoutenable.

 

Une philosophie politique du vivre ensemble (con-vivialiste, donc). C’est pour aller dans le sens de cette explicitation qu’une cinquantaine d’intellectuels et militants, auteurs de nombreux ouvrages qui dessinent des alternatives possibles, ont décidé de confronter leurs analyses en mettant au second plan leurs divergences. Ce manifeste, qui est le résultat de près de deux ans de discussions entre eux, fixe les principes généraux sur lesquels ils se sont accordés, et qui leur paraissent appropriables et enrichissables par tous.

 


Marina Bellezza (Roman 2014)

De Sylvia AVALLONE

 

L’avenir est à réinventer dans cette vallée coincée entre des montagnes de granit. Une départementale bordée par les carcasses des filatures abandonnées mène à des villages silencieux, un no man’s land aux confins de l’Italie. Pour Marina, vingt-deux ans, un corps et une voix de déesse, le futur se joue résolument ailleurs. Sur les plateaux de télé qui métamorphosent les starlettes de province en divas. Pour Andrea, fils d’une famille de notables, l’Eldorado est à portée de main. Dans la ferme d’alpage de son grand-père. Mais les rêves de ces deux héros contemporains se cognent à l’amour impossible qui les unit depuis l’adolescence.

 

Silvia Avallone se montre une fois encore incroyablement douée pour cerner les failles de notre époque et les doutes de sa génération. Avec une profonde empathie pour ses personnages, elle compose un deuxième roman fougueux autour des thèmes de l’enracinement et de l’abandon.

 

Marina Bellezza est donc aussi un roman politique, qui montre bien que les Alpes séparent également deux conceptions différentes, voire opposées de l'agriculture. La petite production de qualité, c'est la nouvelle frontière de l'économie italienne.Le savoir-faire laissé en héritage par la génération active dans les années Soixante est repris et valorisé, avec l'aide de nouvelles techniques et dans le respect de l’environnement. On commence à prendre conscience dans la Péninsule que c'est la seule agriculture qui peut avoir un avenir. On est aux antipodes du modèle productiviste qui a encore la côte de ce coté-ci des Alpes. C'est d'ailleurs d'actualité vu que le Sénat vient d'adopter le « projet de loi d'avenir pour l'agriculture, l'alimentation et la forêt » qui pénalise les petits éleveurs. (Stefano Palombari )

 


Dans la lumière (Roman)

De Barbara Kingsolver

Traduit de l'Anglais (Etats-Unis) par Martine Aubert

 

Dans les Appalaches, au coeur de la forêt, Dellarobia Turnbow aperçoit une lumière aveuglante. La vallée semble en feu. Mais ces reflets rougeoyants n'ont rien à voir avec des flammes. Ce sont les ailes de centaines de papillons qui recouvrent le feuillage des arbres.

Cette étrange apparition devient un enjeu collectif : la communauté religieuse de la ville croit reconnaître un signe de Dieu et certains scientifiques invoquent une anomalie climatique. Toute l'Amérique se met à observer ce coin isolé, ancré dans les traditions rurales : Dellarobia comprend que de simples papillons vont bouleverser sa vie, et peut-être l'ordre du monde.

 

Barbara Kingsolver est née aux Etats-Unis en 1955. Journaliste, poète et romancière, elle a écrit une dizaine de livres, tous publiés chez Rivages. Connue pour son engagement écologiste, elle tient une place à part dans la littérature américaine.

 


Film "Les Moissons du futur"

 

L’agro-écologie, solution pour que chacun se nourrisse demain ? Oui, démontre ce documentaire !

Il présente des initiatives agro-écologiques réussies des quatre coins du monde, augmentant les rendements et créant de nouveaux liens entre producteurs et consommateurs. Des alternatives à diffuser sans modération...

 

Le film a été réalisé avec le soutien du Conseil Régional d'Ile-de-France et le Secours Catholique / Caritas France.

 

 

 

 

 

 


Film "Nos enfants nous accuseront"

 

Ce film raconte l'initiative de Barjac (municipalité du Gard), qui décide de faire passer la cantine scolaire au bio, consciente du danger sanitaire qui menace une jeune génération exposée aux 76 000 tonnes de pesticides déversées chaque année sur la France.

 

Enfants, parents, enseignants, paysans, élus, scientifiques et chercheurs, livrent leurs sensations, leurs analyses, leurs angoisses, leur colère, le fruit de leurs travaux. Chacun raconte son expérience, dénonce les abus et pose les problèmes. Tous proposent des solutions et espèrent que les différents organes de décision prendront leurs responsabilités.